Membre expert

Dr Pierre SOB

Pierre Sob est actuellement Directeur-Fondateur de la société Horizon Learning Link, un cabinet de Consultants internationaux basé en Suisse opérant dans le domaine du droit, de la formation aux droits de l’homme, le développement du matériel de formation pour adultes, la conduite d’audit genre participatif et le coaching des leaders.

Jusqu’en mai 2014, il était haut fonctionnaire au Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève où il a servi pendant une vingtaine d’années à divers postes de responsabilité au siège et effectué de nombreuses missions de terrain. Il a fait partie de quelques commissions d’enquêtes internationales en Afrique et en Amérique Latine et Centrale.

Avant de joindre l’ONU, Il a servi comme Conseiller juridique du Ministre des Affaires Étrangères et Attaché au Cabinet du Président de la République du Cameroun en charge des questions diplomatiques avant d’être nommé Représentant Permanent Adjoint à la Mission Permanente du Cameroun à Genève où il a activement contribué comme Coordinateur du Groupe d’Experts Africains au processus ayant mené à la Conférence mondiale de Vienne sur les droits de l’homme en 1993.

M. Sob est titulaire du Doctorat en Relations Internationales de l’Institut des Relations Internationales du Cameroun et du Doctorat en droit de l’Université de Genève. Il est également Expert Certifié de l’OIT en Audit Genre Participatif. Il a suivi des formations avec certification dans une douzaine de matières à l’ONU et dans les institutions universitaires.

Spécialité

Objectif 5. Parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles

  • 5.1 Mettre fin, partout dans le monde, à toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et des filles.
  • 5.2 Éliminer de la vie publique et de la vie privée toutes les formes de violence faite aux femmes et aux filles, y compris la traite
    et l’exploitation sexuelle et d’autres types d’exploitation.
  • 5.3 Éliminer toutes les pratiques préjudiciables, telles que le mariage des enfants, le mariage précoce ou forcé et la mutilation génitale féminine.
  • 5.4 Prendre en compte et valoriser les soins et travaux domestiques non rémunérés, par la mise en place de services publics, d’infrastructures et de politiques de protection sociale et par la promotion du partage des responsabilités dans le ménage et la famille, en fonction du contexte national.
  • 5.5 Veiller à ce que les femmes participent pleinement et effectivement aux fonctions de direction à tous les niveaux de décision, dans la vie politique, économique et publique, et y accèdent sur un pied d’égalité.
  • 5.6 Assurer l’accès de tous aux soins de santé sexuelle et procréative et faire en sorte que chacun puisse exercer ses droits en matière de procréation, ainsi qu’il a été décidé dans le Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et le Programme d’action de Beijing et les documents finals des conférences d’examen qui ont suivi.
    – 5.a Entreprendre des réformes visant à donner aux femmes les mêmes droits aux ressources économiques, ainsi que l’accès à la propriété et au contrôle des terres et d’autres formes de propriété, aux services financiers, à l’héritage et aux ressources naturelles, dans le respect de la législation interne.
    – 5.b Renforcer l’utilisation des technologies clefs, en particulier de l’informatique et des communications, pour favoriser l’autonomisation des femmes.
    – 5.c Adopter des politiques bien conçues et des dispositions législatives applicables en faveur de la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes et de toutes les filles à tous les niveaux et renforcer celles qui existent.

Travaux pour Africa 21

A venir

Autres travaux à consulter