Notes et études

Africa 21 a publié de 2011 à 2015 plusieurs notes et études qu'elle met à la disposition du public.

Vous trouverez ci-dessous l’ensemble des notes et études publiées à ce jour par Africa 21 :

  • Note n°5, la diaspora africaine en Suisse : quelles dynamiques ? Quel rôle pour le Programme de développement 2030 de l’ONU ? Dr. Malick Sanghare et Julien Chambolle, décembre 2015.

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  • Note n°4 l’aide publique au développement et l’Agenda 2030: le cas de la Suisse. Dr. Malick Sanghare et Julien Chambolle, octobre 2015.

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  • Note n°3, l’Union pour la Méditerranée, de la mort à la résurrection (2008-2012). Julien Chambolle, mai 2013.

L’Union pour la Méditerranée a connu des difficultés à son lancement en raison des tensions au Proche Orient et par la faute du manque d’investissement de certains acteurs.Cependant, le Printemps arabe va changer la donne en remettant au cœur de l’actualité la Méditerranée. A la stabilisation institutionnelle (mise en place du Secrétariat à Barcelone) s’ajoute la nécessaire implication de l’Union Européenne dans la zone. Des projets ont déjà été lancés et doivent porter leurs fruits dès l’année 2013. Une réorientation stratégique a été effectuée pour accompagner les pays de la rive sud afin de lutter contre le chômage et améliorer les conditions socio-économiques des populations.

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  • Note n°2, gouvernance du financement de la santé mondiale : enjeux et perspectives africains. Dr Théophile Sossa, février 2013.

L’accès aux soins de santé pour tous est un objectif fondamental sur le plan du bien-être social et constitue à ce titre une composante importante du niveau de développement d’un pays tel qu’il est d’usage dans le calcul de l’indicateur de développement humain (IDH) des Nations Unies. Dans ce contexte, cette note analyse de manière critique les instruments internationaux de promotion de la santé mondiale depuis plus de deux décennies et notamment l’Initiative de Bamako, la micro-assurance santé et les Objectifs du Millénaire pour le Développement. Un point final est porté sur l’adéquation entre les défis actuels de la santé publique en Afrique et les esquisses de solutions en discussion dans l’agenda du développement international à la lumière des exemples du Bénin, du Gabon, du Ghana, du Mali et du Rwanda.

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  • Note n°1, l’Union pour la Méditerranée: origines, principes et perspectives. Julien Chambolle, octobre 2012.

Le bassin méditerranéen est une des régions du monde qui a le plus fort contraste socioéconomique. La Méditerranée peut être à la fois une zone de risques très élevés (guerres,terrorisme, criminalité, désordres sociaux) ou peut évoluer vers une immense zone de prospérité. Dans ce contexte, sous l’impulsion de la société civile et reprise par la présidence française de l’UE, le projet d’« Union pour la Méditerranée » a choisit de développer la coopération voire l’intégration régionale sur la base de thèmes concrets : coopération économique,réalisation de grandes infrastructures régionales, énergie solaire, éducation supérieure. Cependant, malgré un potentiel réel et très important, l’Union pour la Méditerranée reste malheureusement une structure relativement méconnue. C’est pourquoi Africa 21 a décidé d’éclairer ses lecteurs sur ce sujet lors d’une première note qui s’attachera à expliquer le contexte et les origines de l’UPM, les enjeux des négociations liés à sa création et l’organisation qui en est née.

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Les pays membres des 3 principaux bassins forestiers du monde s’associent pour une meilleure protection et gestion de leurs écosystèmes. Julien Chambolle, 2011.

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  • Etude n°1, La régulation internationale des produits chimiques et des déchets dangereux en Afrique. Une perspective de développement durable. Alejandro Gómez, avril 2012.

L’industrie chimique revêt une importante capitale dans les activités économiques modernes comme le démontrent les multiples applications qui en découlent (produits chimiques de base, fertilisateurs, peintures, solvants, produits pharmaceutiques, savons, détergents, pesticides, plastiques, produits synthétiques, fibres, etc.). Dominée historiquement par les pays développés, ce secteur est en profonde mutation du fait de la montée en puissance de nouveaux acteurs (principalement les pays émergents). Dans ce cadre, si les enjeux économiques sont particulièrement importants, les aspects environnementaux ne sauraient être négligés. Pour l’Afrique, tout particulièrement, les défis du développement durable de ce secteur sont d’autant plus complexes qu’aux coûts d’ajustements, les pays du continent sont confrontés à des arbitrages difficiles entre des priorités immédiates et de moyen/long terme, à des faiblesses institutionnelles ainsi qu’à des vulnérabilités environnementales et socio-économiques majeures (suite).

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